mardi 3 février 2009

La mort n'est jamais complète,
Il y a toujours puisque je le dis
Puisque je l'affirme
Au bout du chagrin
Une fenêtre ouverte
Une fenêtre éclairée.
Il y a toujours un rêve qui veille,
Désir à combler,
Faim à satisfaire,
Un cœur généreux
Une main tendue
Une main ouverte
Des yeux attentifs
Une vie, la vie à se partager.
Paul Eluard.

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